NOEL…Miracle ?

MIRACLE ?

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Un Miracle, pour les croyants, ce n’est pas un tour de magie.
C’est une chose surnaturelle positive.
Un évènement prouvant l’existence de Dieu.

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Dans la Torah
Moïse est un grand pourvoyeur de miracles, notamment avec son bâton qui écarte les eaux de la mer Rouge pour faire traverser son peuple poursuivi par Pharaon.

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Dans le Nouveau Testament

Jésus

accomplit 27 miracles :- l’eau changée en vin aux Noces de Cana
- la multiplication des pains
- de nombreuses guérisons
- la résurrection de Lazare.

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Dans le Coran
la tradition musulmane attribue parfois des miracles à Mahomet
le véritable prodige résidant dans le Coran lui même …
la récitation véritable venue de Dieu.

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Certains prennent ces histoires au premier degré ; d’autres se moquent des crédules.
Et si nous cherchions le sens symbolique ?

De nos jours, le MIRACLE…ne serait-il pas :
- un monde trouvant AMOUR-PAIX-PARTAGE ?
- une Palestine libre ?
- un Israël serein ?

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Je terminerai ce cycle de
Noël 2009
en souhaitant
qu’un miracle se produise pour vous

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Ils sont deux combattants…

 

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…/…

Ils sont deux combattants. Le combat, c’est le monde.

L’un, qui mêle à l’azur sa chevelure blonde,
Est l’ange ; il est celui qui, dans le gouffre obscur,
Apporte la clarté, le lyse, le bonheur pur ;
du monstre aux pieds hideux il traverse les toiles ;
Sur sa robe frissonne un tremblement d’étoiles ;
Il est beau ! Semant l’être et le germe aux limons,
Allumant des blancheurs sur la cime des monts,
Et pénétrant d’un feu mystérieux les choses,
Il vient, et l’on voit l’aube à travers ses doigts roses ;
Et tout rit ; l’herbe est verte et les hommes sont doux.

 

L’autre surgit à l’heure où pleurent à genoux
Les mères et les soeurs, Rachel, Hécube, Electre ;
Le soir monstrueux fait apparaître le spectre ;
Il sort du vaste ennui de l’ombre qui descend ;
Il arrêt la sève et  fait couleur le sang ;
Le jardin sous ses pieds se change en ossuaire ;
De l’horreur infinie il traîne le suaire ;
Il sort pour  faire faire aux ténèbres le mal ;
Morne, en l’être charnel comme en l’être aromal
Il pénètre ; et, pendant qu’à l’autre bout du monde,
Abattant les rameaux du crime qu’il émonde,
L’éblouissant Ormus met sur son front vermeil
Cette tiare d’or qu’on nomme le soleil,
Lui, sur l’horizon noir, sinistre, à la nuit brune,
Se dresse avec le masque horrible de la lune,
Et jetant à tout astre un regard de côté,
Rôde, voleur de l’ombre et de l’immensité.

…/…

V. HUGO
(Dieu)

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A table…Choux à la crème

 

 

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INGRÉDIENTS (6 personnes)
- pâte à choux: 1/4l d’eau, 135g de farine, 80g de beurre, 1 pincée de sel, 3càs de sucre poudre, 4 oeufs, sucre glace ;
- pour la crème: 1/4l de lait, 1 càs de farine, 125g de sucre en poudre, 3 oeufs entiers + 2 blancs, 2 feuilles de gélatine, 1 c-à-s de kirsch-rhum ou extrait de vanille.

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Préparer la pâte à choux
Tamiser la farine, faire bouillir dans une grande casserole l’eau, le sucre, le sel et le beurre ;
- retirerdu feu dès que ça commence à bouillir, jeter immédiatement et d’un seul coup toute la farine
- mélanger rapidement, remettre sur le feu pour assécher la préparation jusqu’à ce qu’elle se détache du fond ;
- retirer du feu.
Laisser refroidir 5 minutes, puis incorporer UN à UN les oeufs en n’ajoutant le suivant qu’après chaque incorporation totale à la pâte.

Allumer le four (th.6/7).
Beurrer la tôle à patisserie, déposer à la cuillère des petits tas de pâte.
Glisser au four.
Laisser cuire 30 minutes.

Préparer la crème :
- chauffer le lait
- tremper 5 minutes les feuilles de gélatine dans l’eau
- casser les oeufs en séparant les blancs des jaunes.

Mélanger les jaunes, le sucre et la farine ;
- délayer avec le lait chaud
- ajouter la gélatine égouttée et le parfum choisi.
Faire épaissir à feu doux sans cesser de remuer et sans laisser bouillir.
Retirer du feu.
Monter les blancs en neige ferme ; incorporer dans la crème refroidie.

Fendre les choux sur le côté, remplir de crème refroidie.
Saupoudrer avec le sucre glace.

VIN  : un Sainte-croix-du-mont

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JOYEUX NOEL !

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Un sauveur né ?

 

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Tu habites à la campagne. Tu reviens de l’école, l’hiver. Il fait froid. Il fait nuit. Tu marches sur le route. Tu es un peu fatigué, pas très rassuré…

Enfin, après le virage, tu aperçois la fenêtre éclairée de ta maison.
Déjà tu te sens soulagé, réconforté. Tu sais qu’à la maison ta mère t’attend. Il y fait chaud, il y  fait bon. Tu pourras t’asseoir, manger un peu, bavarder.
Là-bas, c’est la vie qui  t’accueille.

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La crèche de Jésus est un peu comme cette lumière de ta maison.
La crèche est enfouie dans une grotte, au coeur d’une nuit noire, et nous sommes attirés par cette petite lumière qui filtre au milieu des ténèbres de la Terre.

Cette lumière
c’est celle de l’Espoir
Celle de la Tendresse
celle de la Vie.

Quand nous sommes un peu perdus-tristes
il y a toujours en nous-mêmes une petite lumière
le signe de la présence de

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En ces jours-là, parut un décret de l’empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre. Ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie.
Chacun allait se  faire inscrire dans sa ville d’origine.

Joseph aussi quitte la ville de Nazareth  en Galilée  pour monter en Judée, à la ville de David  appelée Beethléem, car il était de la famille et de la descendance de David.
Il venait se faire inscrire avec Marie , son épouse, qui était enceinte.

Or, pendant qu’ils étaient là, le jour où elle devait accoucher arriva.
Elle mit au monde son fils premier-né, l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire car il n’y avait pas de place pour eux dans la salle commune.

Dans les environs se trouvaient des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour garder leurs troupeaux.

Un ange du Seigneur s’approcha et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa lumière.
Ils  furent saisis d’une grande crainte mais l’Ange leur dit :
 

« Soyez sans crainte car voici que je viens vous annoncer une bonne nouvelle, une grande joie pour tout le peuple.
Aujourd’hui vous est né un Seigneur dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur.
Et voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire. »

Soudain il y eut avec l’Ange, une troupe céleste innombrable qui louait Dieu en disant :

« Gloire à Dieu, au plus haut des cieux,
et paix sur terre
aux hommes qu’il aime. »

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L’Evangile selon St Luc
 (chapitre 2, versets 1-14)
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Voila la signification de cette fête
pour les chrétiens
celle d’une liesse familiale

Que votre journée soit belle !
fraternellement vôtre

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NOEL…Famille

 

 

NOËL

est essentiellement
une fête familiale
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Le 26 décembre on fête « La Sainte Famille »
dans la liturgie chrétienne.
Voilà ce que l’on enseigne aux enfants à ce sujet.
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Pour grandir, il ne suffit de manger beaucoup de soupe. La soupe fait grandir le corps mais pas l’esprit.
Et à quoi servirait un grand corps sans tête ? comment développer la tête ? On dit qu’on acquiert de la mémoire en la faisant fonctionner.

Comment faire fonctionner la tête ? En lisant, en écoutant, en observant. La tête emmagasine puis réfléchit.
Donc il  faut être curieux, s’intéresser, interroger.  c’est ce que fait Jésus à Jérusalem quant il a 12 ans. Il questionne les maîtres. Et ses questions font progresser dans la connaissance de Dieu.

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Alors, nous aussi, cherchons Dieu.
Allons vers Lui.
N’ayons pas peur de poser des questions à ceux qui les connaissent déjà.
Lisons l’Évangile.

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Lors de l’Office, on lit l’Évangile de Luc
(chapitre 2 – versets 41-52)

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Chaque année, les parents de Jésus allaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque.
Quand il eut 12 ans, ils firent le pèlerinage selon la coutume.
Comme ils s’en retournaient à la fin de la semaine, le jeune Jésus reste à Jérusalem sans que ses parents s’en aperçoivent.
Pensant qu’il était avec des compagnons de route, ils  firent une journée de chemin avant de le chercher parmi leurs parents et connaissances. Ne le trouvant pas, ils retournèrent à Jérusalem en le cherchant.
C’est au bout de trois jours qu’ils le retrouvèrent dans le Temple, assis au milieu des maîtres, à les écouter et les interroger. tous ceux qui l’entendaient  s’extasiaient sur l’intelligence de ses réponses.

En le voyant, ses parents furent stupéfaits et sa mère lui dit :
« Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois, ton père et moi, nous te cherchons tout angoissés ».
Il lui dit  » Pourquoi me cherchez-vous ? Ne le saviez-vous pas ? C’est chez mon Père que je dois être. »
Mais il ne comprirent pas ce qu’il leur disait.

Il rentra avec eux à Nazareth, et il leur était obéissant.
Sa mère gardait tous ces évènements dans son coeur.
Quant à Jésus, il grandissait en sagesse, et taille et en grâce sous le regard de Dieu et des hommes.

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Est-ce une éducation mauvaise d’inculquer comme modèle
un enfant obéissant qui consacrera sa vie à prêcher
Amour-Partage-Tolérance ???

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O mon Dieu…

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O mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour
Et la blessure est encore vibrante,
O mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour.

O mon Dieu, votre crainte m’a frappé
Et la brûle est encor là qui tonne,
O mon Dieu, votre crainte m’a frappé.

O mon Dieu, j’ai connu que tout est vil
Et votre gloire en moi s’est installée,
O mon Dieu, j’ai connu que tout est vil.

Noyez mon âme aux flots de votre Vin.
Fondez ma vie au Pain de votre table,
Noyez mon âme au flots de votre vin.

…/…

VERLAINE
(Sagesse)

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A table…Blinis

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INGRÉDIENTS (pour 6 personnes)
300g de farine, 3 oeufs, 1/4 de litre de lait 1 dl de crème, 15g de levure de boulanger, 50g de beurre, sel fin.
Garniture : 12 fines tranches de saumon fumé, 2dl de crème, 80g de beurre, 1 pot d’oeufs de saumon, etc.

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Délayer la levure dans le lait à peine tiède.
Disposer la farine en fontaine, incorporer le lait, les jaunes d’oeufs, saler légèrement.
Laisser lever pendant 3 heures.

Au moment de l’emploi :
- ajouter la crème et les 3 blancs d’oeufs battus en neige ferme.
- chauffer une petite poêle avec une noisette de beurre, verser une petite louche de pâte ; laisser dorer 1mn de chaque côté.
Tenir les blinis au chaud, sous une feuille d’aluminium ménager dans le four tiède pendant la cuisson des suivants.

Servir avec les garnitures proposées et celles que vous préférez.
VIN : vodka glacée.

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NOEL…Secours ?

PRIÈRE
dans l’épreuve

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Depuis toujours les humains subissent des épreuves
depuis le début des temps ils cherchent du secours
auprès d’entités ou êtres surnaturels.

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Pour les chrétiens, certains psaumes du roi David  remplissent un rôle protecteur s’ils sont chantés-prononcés avec confiance. Il en est ainsi du Psaume 31.

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En toi Yahvé j’ai mon abri.
Sur moi pas de honte à jamais !
En ta justice affranchis moi, délivre-moi,
Tends l’oreille vers moi, hâte toi !

…/…

J’entends les calomnies des gens,
Terreurs de tous côtés !
Ils se groupent à l’envi contre moi,
complotant de m’ôter la vie.

Et moi, je m’assure en toi, Yahvé,
Je dis : C’est toi mon Dieu !
Mes temps sont dans ta main, délivre-moi,
des mains hostiles qui s’acharnent ;
fais luire ta face sur ton serviteur,
Sauve-moi par ton amour.

Yahvé, pas de honte sur moi qui t’invoque,
mais honte sur les impies !
qu’ils aillent muets au shéol,
Silence aux lèvres de mensonge
qui parlent du juste insolemment
avec superbe et mépris !

…/..

Aimez Yahvé, tous les siens :
il garde les fidèles,
mais Yahvé rétribue avec usure
celui qui  fait l’orgueilleux
Courage, reprenez coeur, vous tous
qui espérez Yahvé !

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A vous d’essayer et vérifier ?
(article complémentaire : http://osee.unblog.fr/  – Noël racines)

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NOEL…GAZA-GAZEE ?

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l’UPJF dénonce
comme de nouvelles formes et vecteurs de
judéophobie

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…à savoir, pêle-mêle,
« les Arabes, les Palestiniens, Dieudonné et le rapport Goldstone »,
mais aussi
« les universitaires, les artistes et autres intellectuels israéliens (…) Amnesty International, les ONG des Droits de l’homme »,mais aussi et surtout,
« l’Union Européenne et les Etats-Unis » (sous Obama, bien sûr), lorsqu’ils
« exigent des concessions israéliennes en faveur de la paix »
et  réclament « l’expulsion des Juifs » des colonies de Judée et Samarie.
D’ailleurs Le temps de l’annexion (de ces territoires) est venu   :
« Israël doit mettre fin à cette farce »
que constitue, selon l’auteur de l’article, l’hypothèse d’une future négociation sur les territoires palestiniens.* 

 

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«Ces terres sont nôtres, de droit Divin »

Voilà un « peuple élu de Dieu »
qui n’a rien compris à la spiritualité !!!

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il est plus que temps de faire
« revivre notre domination formelle sur ces terres après un interlude de près de 2000 ans ».

L’assurance ainsi donnée par Brice Hortefeux d’être toujours présent à leurs côtés pour lutter contre toutes les formes de racisme et d’antisémitisme ne pouvait donc que combler d’aise les organisateurs du colloque ainsi que le public au premier rang duquel siégeaient, en bonne place, Richard Prasquier, président du CRIF, et Meyer Habib, vice-président, par ailleurs l’un des plus proches conseillers de l’actuel Premier Ministre israélien, Benyamin Netanyahu…/…

Lire le début et la fin de l’article dans MARIANNE

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Faut-il s’attendre à de noiuvelles opérations « Plomb durci ? »

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