GRILLE SALARIALE UNIVERSELLE
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Ci-gît au fond de mon cœur une histoire ancienne
Un fantôme un souvenir d’une CONSTITUTION adoptée
Le ciel à grand coup de vent peut faire des siennes
Mon bel IDEAL dure encore… et c’est à jamais…
Ils ont perdu du sens la trame, amassant des magots
Cachés au fond des coffres des paradis fiscaux
Si les porte-valises, le long des circuits opaques, s’mettaient à parler
C’est Marianne, sans doute, qu’ils feraient pleurer
J’leur ai dit par la Madone cessez de voler
Le Bon Dieu leur pardonne le peuple sacrifié
Qu’IL leur pardonne ou non d’ailleurs ils s’en foutent
Moi j’ai mon âme en peine, eux sont puissants voyous…
Les tartuffes allaient aux vêpres se mettre à genoux
Quand leurs complices allaient à Caïman-Genève avec nos sous
Qui leur a dit d’un ton sévère « Que faites-vous là ? »
Les contre-pouvoirs ont laissé faire, nos représentants aussi, c’est com’ ça …
J’leur ai dit par la Madone, cessez le peuple paupériser
Le Bon Dieu leur pardonne… ils ont continué
Qu’IL leur pardonne ou non les rapaces s’en foutent…
Moi j’ai mon âme en peine, eux restent prédateurs voyous
Alors la population « sage », ingénue et bouche cousue
A manifesté contre leurs mortels dérapages en votant com’ défendu
Certains ont dit d’un ton sévère : « Français que faites-vous là » ?!
Alors qu’ils avaient fabriqué les misères, étaient responsables des dégâts…
Je vous dis par la Madone : le PACTE REPUBLICAIN n’déchirez pas !
Depuis plus de 200 ans millions de citoyens sont morts pour qu’il règne sur l’Etat !
Qu’IL pardonne, com’ nous pardonnons, s’ils partagent les communs biens
Qu’ IL pardonne, com’ nous pardonnons s’ils redeviennent humains…
*
N’y aura-t-il plus d’âme en peine, ni d’exclus demain ?
Le temps semble revenu de ce choix :
« ENCORE TOUT DETRUIRE ? … OU…
REPRENDRE DU PROGRES HUMAIN LE CHEMIN ? » – G. S. U. ?
24 janvier 2003
(RA-7263.0755-7Fr)
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L’hôte de Yahvé
Yahvé, qui logera sous ta tente
habitera sur ta sainte Montagne ?
*
Celui qui marche en parfait
Celui qui agit en juste
Et dit la vérité de son coeur,
Sans laisser courir sa langue ;
*
Qui ne lèse en rien son frère
Ne jette pas d’opprobe à son prochain
Méprise du regard le réprouvé
Mais honore les craignants de Yahvé ;
*
Qui jure à ses dépens sans se dédire
Ne prête pas son argent à intérêt
N’accepte rien pour nuire à l’innocent.
Qui fait ainsi jamais ne bronchera.
DAVID
(psaume 15-14)
Les cinq jours de DAVOS, (d »après quelques informations glanées sur France Inter), appellent le constat affligeant que les décideurs du capitalisme financier et les prédateurs mondialistes n’ont absolument pas l’intention de faire amende honorable ni de changer leurs attitudes face aux dérives civilicides d’une course mondialiste…
Le politique,
les Etats….
sont entrain de jouer, dans un poker menteur…
leur survie et la légitimité de leur existence…
En ont-ils seulement conscience ?
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