NOEL…Charité ?

Charité

Expression de l’amour de

Dieu

et des hommes envers leurs prochains

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Elle est donc inscrite au coeur de la Foi des 3 religions du Livre, qui continuent d’en appliquer le principe. En accordant à son tour les bienfaits venus de Dieu, le croyant peut espérer accéder au monde futur, à ses côtés.

L’aumône est ainsi l’un des grands actes de charité.

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Dans le Judaïsme
La charité, en tant que source matérielle servant à secourir les pauvres, est un commandement qui fait partie de la catégorie des actes de bonté.

La Torah (Loi divine) contient nombre de prescriptions alimentaires ou pécuniaires (comme la dîme pendant l’année sabbatique, qui intervient tous les 7 ans.)

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Pour le christianisme
la charité est un commandement central du ministère de Jésus, et elle figure même parmi les vertus théologales (données par Dieu).
Elle ne s’exprime pas uniquement en argent, mais en actes, pensées, générosité, intentions…

Matthieu (25, 31-40)
« Quand le Fils de l’homme viendra….devant lui seront rassemblées toutes les nations…Alors (il) dira à ceux de droite (les justes) : Venez les bénis de mon Père…J’ai eu faim et vous m’avez donné à manger, j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli, nu et vous m’avez vêtu, malade et vous m’avez visité, prisonnier et vous êtes venus me voir….En vérité je vous le dis, dans la mesure où vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ».

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En islam
la charité est un souci constant de tout musulman, en direction de  ses frères mais aussi du voyageur de passage, de l’étranger accueilli selon les lois sacrées de l’hospitalité (qualité commune aux 3 religions du Livre).

Ainsi, dans la sourate La Clarté du jour :
Ne t’a-t-il (Dieu) pas trouvé orphelin et il t’a procuré un refuge. Il t’a trouvé errant et il t’a guidé. Il t’a trouvé pauvre et il t’a enrichi. Quant à l’orphelin, nee le brime pas. Quant au menfiant, ne le repousse pas… ».

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Ne reste plus qu’à appliquer !

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Abel et Cain

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Race d’Abel, dors, bois et mange ;
Dieu te sourit complaisamment.

Race de Caïn, dans la fange
Rampe et meurs misérablement.

Race d’Abel, ton sacrifice
Flatte le nez du Séraphin !

Race de Caïn, ton supplice
Aura-t-il jamais une fin ?

Race d’Abel, vois tes semailles
Et ton bétail venir à bien ;

Race de Caïn, tes entrailles
Hurlent la faim comme un vieux chien.

Race d’Abel, chauffe ton ventre
A ton foyer patriarcal ;

Race de Caïn, dans ton antre
Tremble de froid, pauvre chacal !

Race d’Abel, aime et pullule !
Ton or fait aussi des petits.

Race de Caïn, coeur qui brûle,
Prends garde à ces grands appétits.

Race d’Abel, tu crîs et broutes
Comme les punaises des bois !

Race de Caïn, sur les routes
Traîne ta famille aux abois.

…/…

Baudelaire
(Les fleurs du mal)

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A table…Pintades rôties

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Pintades rôties
(à la flamande)
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INGRÉDIENTS – (4 personnes)
2 pintades de 750 gr (vidées-bridées)
3 càc de sel, 1 càc de poivre gris, 5 càs d’huile d’olive, 60gr de beurre, 4 carottes (grattées,coupées en rondelles), 1 gros oignon haché, 1 branche de céleri hachée, 3 tomates blanchies-pelées-hachées, 1 càc de basilic sec, 1/4 de l de vin blanc, 1/8l de crème fraîche (35%).
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Chauffer le four à 180° (4/5)
Frotter les pintades avec le sel et le poivre gris.
Poser les pintades dans une lèche-fritte, arroser d’huile, mettre au four.
Cuire environ 1heure en arrosant fréquemment.

Pendant ce temps
Faire fondre le beurre dans une casserole (feu modéré).
Ajouter les carottes-oignon-céleri-tomates-basilic (dès disparition de la mousse).
Réduire le feu, couvrir, laisser mijoter 20mn.
Verser le vin en augmentant un peu.
Laisser mijoter 10mn de plus, en tournant de temps en temps.
Passer au tamis. Garder le jus épais. (les légumes/pour une soupe ?)
Remettre le jus sur le feu, amener à ébullition sur feu très vif.
Réduire de moitié.
Incorporer la crème, tourner 3 minutes doucement-constamment.
Retirer la casserole du feu.

Enlever les pintades du four et poser sur un plat de service chauffé.
Débrider.
Verser la sauce dans une saucière chauffée.
Servir aussitôt avec les pintades.
Accompagnement : carottes  flamandes-pommes de terre sautées.
VIN : un Bourgogne blanc ou rosé.

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NOEL…Blasphème ?

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Dans toutes les religions le
  blasphème
(du latin blasphemia « blâme« )
est une parole injurieuse envers la divinité

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Dans les trois religions du Livre il est considéré comme un péché grave.

La Bible (par le 4ème Commandement du Décalogue rapporté dans le Deutéronome (5,11)
stipule :
« Tu ne prononceras pas le nom de Yahvé ton Dieu à faux, car Yahvé ne laisse par impuni celui qui prononce son nom à faux. »

De fait, dans l’ancien Israel, la lapidation était appliquée à tous ceux qui injuriaient Dieu.
Le judaïsme, dans le sillage de la Michnah (premiers écrits tirés de la loi orale), décréta que la mort ne serait appliquée qu’à celui qui blasphémait outrageusement le nom (qui n’était plus prononcé) de Dieu ; les fautes moins graves étant sanctionnées par le fouet.
Ensuite, quand le juifs s’éparpillèrent dans la diaspora (ensemble des populations juives dans le monde),le blasphème fut puni par l’excommunication (hérem ou annathème).

Le christianisme
s’inscrit aussi dans cette conception du blasphème, mais les peines capitales, pratiquées autrefois par l’Inquisition, n’ont plus cours depuis longtemps.

En islam
selon la loi, le blasphème mérite la mort,
mais cete condamnaiton est loin d’être appliquée à la lettre
excepté parmi les mouvements extrémistes(qui, comme dans toutes les religions, ont une lecture partiale des textes et traditions). 

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Pour ma part
je poserais la question :
« le peuple élu de Dieu »
 bombardant pendant la période de
Noël
des enfants-femmes-vieillards-humains
dans la prison à ciel ouvert de la Bande de Gaza
n’est-ce pas un acte-blasphème ?

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NOEL…Pardon ?

Avec Abel  et Cain
l’Humanité connaît son 1er meurtre
Hélas suivi de nombreux autres !

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La Bible  n’est pas la seule à rendre compte de ce crime ; les auteur arabes en parlent….le thème a inspiré de nombreux peintres. 

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Le Coran fait allusion aux deux frères sans les nommer.
Verset 27 de la sourate 5
 » Raconte en toute vérité l’histoire des deux fils d’Adam : ils offrirent chacun un sacrifice ; celui du premier fut agréé ; celui de l’autre ne fut pas accepté ; il dit alors : « Oui je vais le tuer ! ».

Qui ne connait pas l’histoire ?

Deuxième fils d’Adam et Eve, Abel, a pour frère Cain ;
tous deux ayant été conçu par la volonté de Yahvé , après que leurs parents ont été bannis du jardin d’Eden.

La Genèse (4,1-16) relate les premiers temps…où les cultivateurs sédentaires de Canaan…s’opposaient parfois violemment…aux éleveurs semi-nomades (israélites) venus s’établir sur leur terre.

Abel choisit de devenir « pasteur de petit bétail »…tandis que Cain « cultive le sol ».
Abel fait une offrande à Yahvé ( premiers nés du bétail),qui (préférence mystérieuse) la choisit au détriment de celle de Cain  (les prémices des récoltes)…
« Cain fut très irrité et eut le visage abattu ».

Dieu  le met alors en garde contre cette indisposition ; laquelle démontre que son geste, au contraire de celui d’Abel, est marqué d’une arrière pensée qui pourrait le conduire au péché.

Cain dévoré par la jalousie, attire Abel en pleine campagne et le tue ; regrette son geste et le sang répandu ; mais se voit tout de même frappé d’exil (tout en bénéficiant d’une protection divine).

L’histoire d’Abel et Cain
est triplement symbolique pour chacune des religions du Livre :
- éclairer la condition du juste
(croyant sincère et persécuté)
- condamner le meurtre (qui va à l’encontre des commandements de Dieu)
- insister sur le repentir
(grâce auquel le coupable ou le mauvais croyant bénéficiera du pardon de Dieu).

Les chrétiens pensent que l’envoi par le Très-Haut d’un Sauveur…est le signe du PARDON divin pour toutes les fautes passées …mais….

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Selon le C.P.I….
Les captifs palestiniens de la prison israélienne du Néguev 
ont rendu leurs repas, hier lundi 30 novembre 2009
pour protester contre les pratiques des autorités de l’occupation israélienne sur le barrage militaire d’Ofer.

Les nouvelles venant de la prison du Néguev parlent de protestations des captifs contre les pratiques des soldats israéliens contre leurs familles qui voulaient venir rendre visite. 

Notamment,
ils ont été informés que 
les soldats israéliens sur le barrage militaire d’Ofer
- font l’inspection à nue des femmes-filles ;
- ont blessé le père du captif Achraf Al-Madloum.

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NOEL…Consolation ?

Créateur bienfaisant des astres, lumière éternelle des croyants, Jésus, Rédempteur de TOUS, prêtez l’oreille à nos voeux suppliants.

Pour que ne périsse pas l’univers en la main du démon, dans l’élan d’amour qui vous pressait, vous vous êtes fait le remède du monde languissant.

Pour expier le crime universel de notre race, vous allez, victime sans tache, du sein sacré de la vierge, à la croix.

Vous dont la puissance glorieuse et le nom à peine prononcé font que cieux et enfers  fléchissent le genou en tremblant.

Nous vous supplions, Juge souverain du dernier jour, par les armes de la grâce divine, défendez-nous de nos ennemis.

Louange, honneur, puissance, gloire soient au Père, à son  fils, ainsi qu’à l’Esprit Consolateur, dans les siècles de siècles.

AMEN.

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Voilà l’hymne que chante les croyants
à la Messe d’ouverture de la période de Noël.
Ne pourrions-nous dire aux moqueurs que croire
en ces paroles consolatrices pour certain(e)s
n’est pas plus stupides que suivre les mages financiers ?

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L’aviation sioniste de la guerre a lancé
lundi 30 novembre
une bombe portant des milliers de brochures
en avertissant la population de la ville de Rafah
au sud de la bande de Gaza.

Des sources locales ont affirmé
au correspondant du centre palestinien d’information qu’un avion sioniste a lancé de milliers de brochures, en menaçant la population de Rafah que l’aviation sioniste va poursuivre ses raids aériens sur la ville de Rafah et le long de la région des tunnels. Les sources ont souligné que la région a été évacuée en crainte des assauts criminels de l’aviation de l’occupation israélienne.

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NOEL…Confiance ?

Vers vous, Seigneur, j’élève mon âme ;
en vous, mon Dieu, je mets ma confiance ; je ne serai pas déçu(e).

Que mes ennemis ne se moquent pas de moi, car aucun de ceux qui comptent sur vous ne sera trompé dans son espérance.

Seigneur,
montrez-moi votre route, enseignez-moi vos chemins.

Gloire au Père, et au Fils et au Saint-Esprit
comme il était au commencement,
maintenant et toujours
et dans le siècles des siècles.
AMEN.

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Voilà le Psaume  lu pendant le 1er dimanche de l’Avent.
Certains pratiquants le disent avec ferveur…
d’autres par automatisme.
Certains mécréants se moquent …
sont-ils plus satisfait de leurs croyances matérialistes ?

Pour ma part,
je pense que la spiritualité est indispensable-indissociable de l’Être-humain.
Mais enfermer celle-ci dans un dogme rigide est dangereux…
en plus d’être incompatible avec une quête sincère de tous les instants.

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Et vous ?

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